Si n'importe qui veut parler de ce sujet car elle en est victime ou pas n'hésitez pas. Je veux témoigner et dénoncer à ma façon.
Je vous conseil par ailleurs la chanson "si j'étais un homme" de Chilla. Je la trouve vraiment bien et les paroles parle d'elle même.

Certaines choses deviennent insupportables. Aussi petit que certains détails puissent paraître, ensemble, ils prennent parfois beaucoup de place. C'est un de ces jours. Un de ces jours où on réfléchit un peu trop, rie un peu moins. Un de ces jours où on remet tout en question, notre journée, notre vie, notre monde mais aussi celui des autres. Le genre de journées où l'on devient poète le temps d'un instant.
Quelque chose ne semble pas juste aujourd'hui. Quoi ? Je ne sais pas. Juste un sentiment, une boule au ventre. Une nuit passé à frôler le sommeil sans l'atteindre réellement. Une impression de regards pesant dans le transport plus que d'habitude. Etre bloqué, seul, face à soi-même, ne pas pouvoir s'échapper, rechercher de l'air déjà existant dans nos poumons. Certains mots résonnent dans l'esprit, il est absurde d'y prêter attention.
Mais ils rappellent beaucoup de choses, impossible à ignorer. Ils blessent plus que n'importe quels coups. « Elle est belle de dos ! », « Y a des fessés qui se perdent ! », « T'es bonnes... », « Ta un cu ! », « Ta une grosse poitrine »... Et encore tellement d'autres pourraient être cités. Vous êtes pourtant censé être des amis, plus ou moins proches, mais amis tout de même. Vous pensez que ça n'a pas d'importance, que peut-être même, je le prends comme compliment, mais c'est trop.
Se sentir comme une pièce de viandes et rien de plus, finir par avoir l'impression que mon corps est sale. Je me demande, ne voit-on que ça en moi ? Une meuf bonne à baisé une nuit, puis a laissé de côté sur la route. Mes yeux, ils ne t'intéressent pas ? Ils sont plutôt jolis pourtant, en amande animé de bleu et de vert à la fois. Mais tu ne les vois pas, tu ne vois pas mon regard, ce regard, blessé et gêné.
Et puis toi, étranger pervers, perdu dans la foule du transport, que vois-tu ? Je sens ton regard vicieux posé sur moi chaque matin, j'ai même senti ce soir ta main.
Assis à côté de moi, tu agrippes mon genoux, je suis paralysé, j'essaye de dégager ma jambe, tu me tiens fermement. Tu remontes ta main à ma cuisse, tu caresses sans droits. Je me gèle à ta touche, j'inspire, je me lève brusquement et retourne debout au milieu de cette foule qui me cache de ton regard, me sauve de ta touche, mais jusqu'à quand ?
Mais ce n'est pas tout, marché simplement dans la rue devient parfois toute une épreuve. Entre ceux qui klaxonne et nous siffles et ceux qui nous interpellent. Soit ils t'appellent ma belle, soit salope, ça dépend. Et puis, ils te suivent en voiture comme si ce n'étaient pas assez, on m'a même demandé combien je prenais, juste à cause d'une paire de talons toute simple. Alors on ignore, on essaye du moins. Sauf que ça ne leur plait pas. Alors ils insultent, et puis ils nous disent qu'on va se faire baiser de toute façon. Et dans ces moments-là, on se sent Sali par leur regard, Sali par leur mot, seul face à notre désespoir.
Vous passez vos journées à me regarder sans me voir. Et c'est ce qui blesse le plus.
En seulement quelques mois ma confiance dans les hommes c'est fortement dégradée. A cause d'un mec par ci, d'un mec par-là, je me sens mal, Sali. Prendre le transport tous les matins et tous les soirs devient horrible. Je ne supporte plus le métro et le fameux RER B. A l'heure de pointe je fais une station avec le RER B mais c'est un supplice. La distance entre ces stations est vraiment loin, 5 minutes collée serré à ne pas pouvoir bouger.
Un matin un mec de la quarantaine se place bien comme il faut derrière moi, je me retrouve avec mon dos plaqué sur son torse, c'est insupportable. Le trajet à quelque secousse, il me rentre dedans avec son bassin. Il m'éc½ure. Je finis par sentir sa bite durcir. Je prie pour que ça se finisse. Le RER s'arrête je me précipite dehors pour m'échapper et me calmer.
Il y a quelque jour, je monte de nouveau dans ce RER. Et là, un autre mec ce colle à moi de la même façon. Je suis paralysé, pas encore. Et la même histoire se répète, je ferme les yeux, j'essaie d'oublier. Je veux me convaincre que c'est juste un sac qui tape contre moi mais je sais bien la réalité. Je frissonne de dégoût, incapable de changer quelque chose. Je ne me voie pas taper un scandale devant tout le monde. Et puis pour dire quoi ? Arrête de m'enculer ? C'est ridicule. Alors j'endure comme d'habitude.
L'autre jour c'est une main baladeuse qui s'est posée sur mes fesses. J'essaie de bouger, de changer de position pour y échapper mais impossible. De vraie sardine et le mec en profite bien. Il me caresse, puis il serre mon cu. J'ai envie de l'insulter, de le claquer, de le mettre au sol, là où se trouve sa place, parmi les déchets.
Et d'autres incidents se passent, au milieu de la foule, sans que personne ne bouge. La dernière fois aussi je marche pour rentrer chez moi, un homme vient me parler, je pensais qu'il était perdu. Pas du tout. Il me tend un papier, je repars pressée. Je lis son bout de papier. Il est photographe, il cherchait des jolis modèles féminins avec prix attractifs. Il me prend pour qui lui ? Qu'il demande carrément combien je prends au point où il en est. D'ailleurs s'est déjà arrivé aussi de toute façon. Pourtant j'ai des baskets, un jean sans une seule déchirure, une veste et un tee-shirt...
Mais dans tout ça, ce n'est même pas le pire. Le pire c'est avec un homme que je connais. Mon moniteur de conduite parle beaucoup, me pose des questions. Je vais bientôt passer mon permis donc il est plus détendu, je commence à bien conduire. Il me parle souvent de cu. Je n'ai aucune idée pourquoi. Enfin je parle de tout mais pas avec n'importe qui. Sauf que la dernière séance il est vraiment partit loin...
Il m'a dit que je me faisais sûrement plaisir avec les mecs, qu'il ne croirait pas qu'une fille de 18 ans lui sorte qu'elle est toujours vierge. Il m'a parlé de sa première fois, il m'a aussi dit qu'il avait couché avec une femme marié par défi. Après il m'a même parlé de sa fille, de ses 18 ans avec son mec, qu'elle avait sûrement dû coucher, que sa maison s'était transformé en « baise room ».
J'étais horriblement gênée. Je savais plus quoi dire. Puis, à un moment on était sur une petite route de campagne, il me dit que je lui faisais faire des heures supplémentaires. Pour rigoler je lui dis que je ça va, je le balade, et là, il me caresse l'épaule bizarrement et me dit d'une voix très bizarre : « j'aimerais plus que ça ». Sur le coup je suis tellement choqué que je ne dis rien, ne fait rien. J'ignore. Puis pendants la conduite il me caresse la cuisse, je ne me sens vraiment pas bien.Et puis il est clair que je dois rester concentrée sur ma conduite parce que ce n'est pas lui qui va m'aider dans l'état où il est.
A un moment il me demande de reculer en ligne droite, alors je commence et il me regarde vraiment bizarrement de haut en bas en me disant « ta main droite tu la mets là où tu veux, surtout ne te gêne pas... » J'ignore encore. Que faire d'autre ? Il me dit que si on se revoit c'est qu'on s'aime vraiment bien. Le reste du temps de la conduite je suis tellement gênée, j'ai peur aussi. Je suis enfermé seule avec lui, j'ai envie de partir très loin.
La bué monte, il met du chauffage pour l'enlever, puis il dit « je vais le baisser sinon tu vas te déshabiller et ça va créer des accidents si les autres conducteurs te voient en soutif. »
J'ai passé deux heures de calvaire avec sa main sur ma cuisse. Quand je suis rentrée chez moi je tremblais, je me sentais mal, bizarre. J'avais l'impression d'avoir fait quelque chose de mal. Et puis je lui avais fait confiance un minimum. Il me dégoûte. J'ai été passé mon permis et j'étais tellement en stress car je le voyais assis à l'arrière, ça m'a déstabilisé.
J'ai loupé mon permis... Et maintenant je dois reprendre des cours avec lui, j'appréhende. J'ai une boule au ventre, j'ai beau me dire que ce n'était pas si grave, que j'exagère sûrement, je n'arrive malgré tout toujours pas à enlever cette angoisse. J'ai appris une nouvelle leçon ; toujours se méfier des hommes, la plupart ne savent toujours pas respecter la femme et voir autre chose en elle qu'un bout de viande.
SVP ne jugez pas. Il m'a déjà fallu du courage pour poster ça, mais je pense que c'est important et ça me fait du bien aussi de pouvoir dire ce que je n'ai jamais dit.
Visiteur, Posté le jeudi 29 juillet 2021 11:43
Bonjour m'appelle diane mère de deux jolie fille cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de maitre zokli qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en parler a ce même maître mais avant j'ai faire des recherche sur ce maître car j’étais septique a ces genres de choses.bref après 7jours de séance de travaux spirituel j’étais a la maison avec mes enfants quand quelqu'un frappais a la porte avec force j'y croyait pas a mes yeux mon mari qui était partis est revenu au complet depuis ce jour j'affirme ma satisfaction totale. Je fais ce témoignage pour remercier ce maître et pour lui de me pardonner d'avoir douté de lui au début des travaux car j’étais impatient de voir mon homme revenu a la maison. Si vous aussi vous êtes dans le même problème veuillez le contacter il peut aussi vous aidez.il intervient dans les domaines suivants
* Retour de l' être aimée
* Rapprochement affectif
* Magie rouge, Magie blanche, Magie noire pour l'amour
* Jeter un sort pour le retour de l'amour perdu
* Médium Marabout, rencontrer l'amour
* Mage spécialiste de l'amour
* Envoutement, desenvoutement d'amour
* Retour d'affection rapide et sans délais
* Rituel pour faire regretter quelqu'un suite à un acte posé ou dispute
adresse mail : maitrezokli@hotmail.com
vous pouvez l'appeler directement ou l'Ecrire sur whatsapp au 00229 61 79 46 97